| | Ils ont observé hier un arrêt de travail d'une heure Les enseignants du technique exigent la prise en charge de leurs revendications | |
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Admin المدير العام
عدد المساهمات : 608 تاريخ التسجيل : 22/01/2013 العمر : 57
| موضوع: Ils ont observé hier un arrêt de travail d'une heure Les enseignants du technique exigent la prise en charge de leurs revendications الخميس سبتمبر 26, 2013 11:17 pm | |
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Ils ont observé hier un arrêt de travail d'une heure Les enseignants du technique exigent la prise en charge de leurs revendications
Ils ont observé hier un arrêt de travail d'une heure Les enseignants du technique exigent la prise en charge de leurs revendications. La coordination des professeurs du technique (PTLT) a marqué hier, en signe de protestation, un arrêt de travail d'une heure afin de dénoncer la discrimination qui subsiste entre eux et les enseignants du secondaire. M. Azzedine Bey, membre de cette coordination, n'a pu nous donner le taux de participation ; il a indiqué que cette action a été une réussite puisque le mouvement a été largement suivi. «Nous n'avons pas pris en otages nos élèves, notre arrêt de travail a était court mais avait pour objectif de sensibiliser la tutelle sur les doléances de cette catégorie de professeurs qui demeure minoritaire parmi la corporation. Nous demandons donc à la tutelle de s'enquérir de notre dossier et d'organiser un atelier de travail qui aura pour vocation de régulariser notre situation qui perdure depuis les années 1990», a-t-il fait savoir, estimant que ces professeurs qui ont déjà le handicap d'être minoritaires ne devraient plus faire l'objet d'une discrimination, d'autant que bon nombre d'entre eux vont bientôt prendre leur retraite. «Nous avons déposé notre plateforme de revendications auprès de la tutelle en décembre 2012. Puis, voyant que notre situation n'évoluait pas, nous l'avons adressée au comité de l'éducation de l'APN en février 2013. Toutes nos démarches sont restées sans réponse. Nous n'avons plus de temps à perdre», a-t-il dit. Interrogé sur les suites à donner au mouvement, il nous a fait savoir qu'une autre action similaire n'est pas exclue à condition qu'elle fasse l'unanimité parmi les militants. Il souhaite également établir un plan d'action avec les syndicats qui ont soutenu cette initiative dont le Snapest (syndicat national autonome des professeurs du secondaire et du technique) et le CLA (conseil des lycées algériens). «Si la tutelle refuse de prendre en considération nos doléances, nous n'écartons pas la possibilité de faire appel au tribunal administratif afin d'être réintégrés dans notre droit car nous avons des documents qui prouvent notre droit à appartenir au corps du secondaire dont le décret 90-49 du statut des enseignants du technique qui faisait valoir notre droit d'être intégrés dans la même catégorie que les enseignants du secondaire après 8 années d'expérience. Toutefois, ce décret n'a jamais été appliqué et cet état de fait que nous ne cessons de dénoncer ne peut plus durer», a-t-il affirmé, ajoutant toutefois que ce serait un ultime recours car «beaucoup de PTLT ne voudraient pas achever leur carrière sur un tel échec», a-t-il dit. Un contentieux avec le Cnapest
Par ailleurs, une polémique s'est fait jour entre le Cnapest (conseil national des enseignants du secondaire et du technique) et les membres du PTLT. En effet, alors que des professeurs du technique adhèrent au Cnapest, M. Bey l'accuse d'avoir étouffé leurs revendications. «Le Cnapest n'a pas répondu présent lors de cette action de protestation, a contrario du CLA et du Snapest qui nous ont soutenus. J'estime que le Cnapest n'a jamais été à la hauteur de nos espérances et qu'il ne nous a jamais représentés. Les déclarations contradictoires de son porte-parole réclamant des comptes à ses adhérents qui auraient suivi l'arrêt de travail est un affront. Nous demandons le respect car même si nous sommes une minorité, nous appartenons à la famille éducative. En outre, je déplore que ce syndicat se soit égaré et qu'il ait préféré défendre les droits des enseignants du cycle primaire et du moyen au détriment des nôtres alors que ce n'est pas sa vocation première. Nous avons alerté le bureau national à maintes reprises, nous lui avons demandé de nous prendre en considération, mais a priori, on ne veut pas nous entendre», a-t-il dit. Pour sa part, le coordinateur du Cnapest, M. Larbi Nouar, a récusé toutes les accusations à l'encontre du syndicat. «Je ne connais pas M. Bey et ses reproches, je les réfute, car d'une part, lorsqu'on a élaboré une plateforme de revendications, les représentants des PTLT au sein du syndicat n'ont émis aucune objection. D'autre part, nous avons défendu leurs statuts puisque nous avons pu obtenir l'organisation d'un concours qui leur permet d'accéder à la catégorie des professeurs du secondaire. Toutefois, après avoir obtenu gain de cause, certains d'entre eux veulent désormais accéder au poste de professeur principal et au grade de professeur formateur et ce, alors qu'ils n'ont pas le bagage scientifique adéquat puisque 99% d'entre eux ont un niveau de terminale. Interrogé sur le suivi de l'arrêt de travail, il a estimé que peu de professeurs ont répondu à l'appel mais que lui-même, contrairement aux déclarations de M. Bey, n'a pas empêché ses adhérents d'y participer. «Ceux qui émettent de telles accusations ne connaissent pas le fonctionnement d'un syndicat. Ceux qui veulent soutenir leurs collègues peuvent le faire sans entrave, la solidarité entre professeurs prime», a-t-il dit. S. B. | |
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Ils ont observé hier un arrêt de travail d'une heure Les enseignants du technique exigent la prise en charge de leurs revendications. La coordination des professeurs du technique (PTLT) a marqué hier, en signe de protestation, un arrêt de travail d'une heure afin de dénoncer la discrimination qui subsiste entre eux et les enseignants du secondaire. M. Azzedine Bey, membre de cette coordination, n'a pu nous donner le taux de participation ; il a indiqué que cette action a été une réussite puisque le mouvement a été largement suivi. «Nous n'avons pas pris en otages nos élèves, notre arrêt de travail a était court mais avait pour objectif de sensibiliser la tutelle sur les doléances de cette catégorie de professeurs qui demeure minoritaire parmi la corporation. Nous demandons donc à la tutelle de s'enquérir de notre dossier et d'organiser un atelier de travail qui aura pour vocation de régulariser notre situation qui perdure depuis les années 1990», a-t-il fait savoir, estimant que ces professeurs qui ont déjà le handicap d'être minoritaires ne devraient plus faire l'objet d'une discrimination, d'autant que bon nombre d'entre eux vont bientôt prendre leur retraite. «Nous avons déposé notre plateforme de revendications auprès de la tutelle en décembre 2012. Puis, voyant que notre situation n'évoluait pas, nous l'avons adressée au comité de l'éducation de l'APN en février 2013. Toutes nos démarches sont restées sans réponse. Nous n'avons plus de temps à perdre», a-t-il dit. Interrogé sur les suites à donner au mouvement, il nous a fait savoir qu'une autre action similaire n'est pas exclue à condition qu'elle fasse l'unanimité parmi les militants. Il souhaite également établir un plan d'action avec les syndicats qui ont soutenu cette initiative dont le Snapest (syndicat national autonome des professeurs du secondaire et du technique) et le CLA (conseil des lycées algériens). «Si la tutelle refuse de prendre en considération nos doléances, nous n'écartons pas la possibilité de faire appel au tribunal administratif afin d'être réintégrés dans notre droit car nous avons des documents qui prouvent notre droit à appartenir au corps du secondaire dont le décret 90-49 du statut des enseignants du technique qui faisait valoir notre droit d'être intégrés dans la même catégorie que les enseignants du secondaire après 8 années d'expérience. Toutefois, ce décret n'a jamais été appliqué et cet état de fait que nous ne cessons de dénoncer ne peut plus durer», a-t-il affirmé, ajoutant toutefois que ce serait un ultime recours car «beaucoup de PTLT ne voudraient pas achever leur carrière sur un tel échec», a-t-il dit. Un contentieux avec le Cnapest
Par ailleurs, une polémique s'est fait jour entre le Cnapest (conseil national des enseignants du secondaire et du technique) et les membres du PTLT. En effet, alors que des professeurs du technique adhèrent au Cnapest, M. Bey l'accuse d'avoir étouffé leurs revendications. «Le Cnapest n'a pas répondu présent lors de cette action de protestation, a contrario du CLA et du Snapest qui nous ont soutenus. J'estime que le Cnapest n'a jamais été à la hauteur de nos espérances et qu'il ne nous a jamais représentés. Les déclarations contradictoires de son porte-parole réclamant des comptes à ses adhérents qui auraient suivi l'arrêt de travail est un affront. Nous demandons le respect car même si nous sommes une minorité, nous appartenons à la famille éducative. En outre, je déplore que ce syndicat se soit égaré et qu'il ait préféré défendre les droits des enseignants du cycle primaire et du moyen au détriment des nôtres alors que ce n'est pas sa vocation première. Nous avons alerté le bureau national à maintes reprises, nous lui avons demandé de nous prendre en considération, mais a priori, on ne veut pas nous entendre», a-t-il dit. Pour sa part, le coordinateur du Cnapest, M. Larbi Nouar, a récusé toutes les accusations à l'encontre du syndicat. «Je ne connais pas M. Bey et ses reproches, je les réfute, car d'une part, lorsqu'on a élaboré une plateforme de revendications, les représentants des PTLT au sein du syndicat n'ont émis aucune objection. D'autre part, nous avons défendu leurs statuts puisque nous avons pu obtenir l'organisation d'un concours qui leur permet d'accéder à la catégorie des professeurs du secondaire. Toutefois, après avoir obtenu gain de cause, certains d'entre eux veulent désormais accéder au poste de professeur principal et au grade de professeur formateur et ce, alors qu'ils n'ont pas le bagage scientifique adéquat puisque 99% d'entre eux ont un niveau de terminale. Interrogé sur le suivi de l'arrêt de travail, il a estimé que peu de professeurs ont répondu à l'appel mais que lui-même, contrairement aux déclarations de M. Bey, n'a pas empêché ses adhérents d'y participer. «Ceux qui émettent de telles accusations ne connaissent pas le fonctionnement d'un syndicat. Ceux qui veulent soutenir leurs collègues peuvent le faire sans entrave, la solidarité entre professeurs prime», a-t-il dit. S. B. موقف لا يشرف المجلس الوطني المستقل لأساتذة التعليم الثانوي و التقني Cnapest تصريح يكتب لك في سجلك الأسود يا نوار العربي التاريخ لا يرحم يقول الرسول صلى الله عليه وسلم .. "لا يدخل الجنه من كان في قلبه مثقال ذرة من كبر "!!!!نسأل الله السلامه من التكبر والغرور ومن اصحابها .. هاك هذ الحكمة يا سي نوار العربي ما تعاظم أحد على من دونه إلا بقدر ما تصاغر لمن فوقه...و هاك ثاني الغرور دليل على الذل أكثر منه دليل على الكبر…[ندعوك للتسجيل في المنتدى أو التعريف بنفسك لمعاينة هذه الصورة] | |
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